Mon cher Frédéric,
Je t'écris cette lettre juste
avant mon départ. Je ferme les yeux et tous les
quartiers dans lesquels nous nous sommes promenés
ensemble défilent devant moi: ce petit hôtel
du Marais, ce magasin d'antiquités dans l'île
Saint-Louis, cette vieille rue pavée du quartier
Saint-Germain...Les jours passent trop vite quand on
est heureux. Je souhaite que tu emmènes de la
Corée d'aussi beaux souvenirs que ceux que me
laisse notre rencontre à Paris.
Toutes
mes amitiés,
Anne-Marie |